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-Prise de conscience.

4 septembre 2016

Prisonnier d'un silence

 

Bonjour Am...

Aujourd´hui nous sommes le 30/12/2023, 8 ans déjà.

Je suis né le jour où tu m'as embrassé,

Je suis mort le jour où tu m'as quitté,

J'ai seulement vécu le temps où tu m'as aimé.


Bonjour Am…

Avant toute chose, j'espère que tu vas beaucoup mieux et qu'avec ton entourage tu as vite pu passer à autre chose.
Je sais que jamais je serai pardonné, enfin je crois, mais pour toi sache que j'ai tout donné, j'ai pris les bonnes décisions, pris les meilleures résolutions, en bonne position j'ai trouvé les bonnes solutions, et toujours avec détermination, jusqu'à ce jour je sais que pour toi j'aurai tout fait, alors j'espère juste que tu y prêteras attention.

Je veux que tu saches que si j'ai été si long à t'écrire c'est parce que j'avais tant de choses à te dire mais j'avais peu de mots.
J'ai aussi longuement réfléchi avant de t'écrire ces mots, à me demander si je faisais bien ou non, à savoir si je devais t'écrire ou pas, si je devais encore garder en moi ces blessures que je panse ou si je devais te dire réellement ce qu'au fond de moi je pense.
Si tu savais combien je m'en veux encore terriblement aujourd'hui d'avoir bu autant ce jour-là et d'avoir agi ainsi, ça a démolie ta vie, mais la mienne aussi.
A ce jour encore je reste inconsolable, mon équilibre ici est instable et ma joie sans toi reste injoignable.
Ton absence dans ma vie présente un vide immense, et la page sur laquelle on s'est aimé ne veux pas se tourner, alors encore ivre de toi je me délivre, car si toi tu as fermé notre livre sache que moi j'ai besoin de t'aimer pour me sentir vivre.
Aujourd’hui t’es sans doute passée à autre chose, mais pas moi, à fond dans notre histoire je n'en vois toujours pas la fin.
Presque 7 ans de vie sans toi bientôt effacé et je t'écris encore les mains glacées, la gorge nouée et les yeux cernés, mais durant ces années, mon amour pour toi n'a pas fané, il a juste fleuri.
Y a langue de Shakespeare celle qui m'inspire, puis la langue de Molière celle qui m'erre, et y a la mienne, celle qui t'aime.
Oui, sans toi mon pouls ralentît, tu es mon oxygène, alors je t'aime comme je respire, et si à chacune de mes inspirations tu me manques, c'est parce que tu es le plus beau sentiment éternel qui n'arrivera jamais à expiration.
Avec du temps je pensais que tu reviendrais, que l'amour était magique, en fait non, sans ton retour je m'aperçois qu'il ne fait que jouer des tours.
Tu es le soleil qui me réchauffe même au mois de décembre, avec toi la vie est subtile, mais sans la personne que tu es, sans ton amour, sans ton humour, dans ma vie il ni y a plus de magie, sans toi je n’apprends plus rien, ma voie et ma ligne de conduite est parfaite, mais pas ma vie, parce que sans toi rien ne va, dans ma tête tu vas et tu viens, mais quand je regarde devant moi c'est le néant, il ne se passe plus rien, je ne sais plus rien, les murs sont froids et j'ai le cœur gelé aussi glacial qu'un hiver en Alaska, je ressens un vide aussi profond que le magma, en moi tout s'est éteint, et dans ma tête c'est l'éruption volcanique de l'Etna, sans toi j'ai chaud, j'ai froid, j'suis triste et je dors mal, alors j'dis pas que je ne veux plus voir le jour se lever, mais je me sens fatiguer de tous les voir se lever sans toi, ton absence m'appauvri, et ton silence me hante encore et me ralentit, y a vraiment que dans tes yeux que je peux retrouver un peu l’éclaircie, l'unique photo que j'ai de toi m'apporte beaucoup de bien quand rien ne va, elle me rappelle ton sourire et tant de souvenirs.
Depuis le 30 décembre 2015 je suis déboussolé et complètement perdu, oui, depuis toutes ces années j'essaie de me relever mais notre histoire m'a mis K.O.
A la minute ou j'ai compris que je t'avais détruite, c'est à la seconde qui a suivi ta fuite, et à cet instant précis j'ai arrêté de respirer, à ce moment-là j'ai vu à quel point j'avais pourri le fruit de notre harmonie, clairement je nous ai démolie.
Mais à l'heure où tu liras ces quelques lignes, j'veux que tu saches que tous mes engagements pour toi ont été respecté, et crois-moi j'en suis resté digne.
Si un jour on se revoit pour s'apaiser les pensées, peu importe la direction dans laquelle nous irons par la suite, je suis certain qu'on pourra retrouver le sourire à nouveaux, car sans les bonnes notes on accumule les fautes et on laisse vivre en nous un mal-être qui n'a pas lieu d'être en nous.
Parce que pour être sincère j'espère encore percevoir la lueur d'un signe de toi, car comme on dit, l'espoir fait vivre, mais l'amour aussi, et si l'occasion ne se présente pas c'est que ton cœur doit avoir ces raisons que mes raisons ignorent, mais une chose est certaine, le cœur a toujours raison.
Vivre sans toi c'est comme vivre sans voir ou vivre sans repère, plus rien n'me fait rire, sans toi j'en oublie même les saisons.
Et même si pour moi t'embrasser c'est voyager en rêvant, je sais qu'au fond de moi je quitterai ce monde en t'aimant, tu vis dans mes veines et sans toi je me vide de mon sang.
En moi tu as laissé un peu de toi, et quand dans mon esprit c'est le chantier, toi seule dans le sentier de mes pensées me ramène à la raison, me ramène dans la bonne direction, et si tu es le sens et la voie de toutes mes destinations c'est parce que tu es restée le centre de toutes mes attentions.
L'amour avec toi mériterait d'être comme l'infini et devrait rimer avec toujours.
Tu es rentrée dans mon cœur et tu as stoppée le temps, t'es le sourire qui fait du bien et grâce à toi j'ai connu la chance, y a pas une seconde ou en moi tu ne résonnes pas.
Je suis presque certain que notre histoire me poursuivra jusqu'au bout du monde, et à jamais je maudirai cet avant dernier jour de décembre qui aura assombri nos vies et nos espérances.
Je me souviens d'un dicton qui disait que "ceux qui ne peuvent pas se rappeler du passé sont condamnés à le répéter, mais ceux qui refusent d'oublier le passé sont condamnés à le revivre", et depuis tout ce temps passé sans toi, chaque jour pour moi c'est l'30 décembre, t'es à mille lieues d'imaginer combien il m'est impossible de faire fuir ces bons moments qu'on a pu écrire ensemble comme les très mauvais que j'ai pu nous écrire tout seul.
Tu es toujours la définition parfaite de toutes mes visions, l'unique reflet de toutes mes illusions, tu es le synonyme de mon bien-être et de toutes mes décisions, et même si c'est pour toi que mes plus belles larmes ont coulés, ton visage me souriant reste mon plus beau frisson, ma plus belle fiction.
Quand mes sentiments s'emmêlent, tous les souvenirs en moi s'entremêlent, se bousculent et me donnent l'envie de te revoir, de te serrer contre moi, et revivre avec toi une soirée télé, resto, ou même une sortie, n'importe laquelle, chanter "Lasciate Mi Cantare", et découvrir le monde, partir un W-End ou tout un été, réserver un vol, nous préserver pour continuer à rêver, te contenter puis contempler la terre entière sans jamais plus rien compter, enfin, de ne penser à rien d'autre que vivre et rigoler, se laissant aller et se laissant porter par un vent ensoleillé.
Alors je sais qu'aujourd'hui je rêve de choses que je n’aurais sans doute jamais plus, mais seuls les sentiments les plus beaux ne peuvent s'oublier, alors je vis avec et je les garde avec moi, mais de te les partager une dernière fois ici me permet de voyager.
Je suis qu'un homme, mais quand je t'écris combien je t'aime j'ai toujours ces papillons dans l'ventre, j'suis comme un môme.
Si je t'évoque tout ce qui y a dans mon cœur c'est parce que tu en fais partie, en moi il ni y a que de l'amour pour toi, pourtant je ne suis pas romancier, ni romantique, mais pour moi tu es la plus belle des femmes, donc la plus belle des fables, et dans ton regard il y a tout ce que j'aime, comme dans l'air d'un poème, pour moi la bohème ça n'veut pas dire qu’on est heureux, ça veut seulement dire que je t’aime.
J'essaie de mettre des pansements sur mes pensées mais comment cicatriser de toi ? Alors que tu es mon plus joli sentiment.
Si sentimentalement je n’avance pas c’est que le manque de toi me ralentit, l'air sans toi est irrespirable, et comme un battement de cœur à mes yeux tu demeures inestimable.
"Certi amori regalano, Un'emozione per sempre, Momenti che restano così, Impressi nella mente, e che probabilmente rimarrà inciso ancora per un po', vedere una vita(Certains amours donnent, une émotion pour toujours, des moments qui restent comme ça, imprimé dans l'esprit, et qui resteront probablement gravé un moment, voir toute une vie)".
On sait que quand on aime quelqu'un pour son physique ce n'est pas de l'amour mais de l'attirance..
Quand on aime quelqu'un pour son intelligence ce n'est pas de l'amour mais de l'admiration..
Que quand on aime quelqu'un pour son argent ce n'est pas de l'amour mais du profit..
Par contre quand on aime quelqu'un sans savoir pourquoi, je pense que là, c'est de l'amour.
La beauté attire l'œil et rien d'autre, mais la personnalité capture le cœur et toi depuis tout ce temps, t'as clairement dérobée le mien, puis si on n'voit bien qu'avec le cœur c'est parce que l'essentiel est invisible à nos yeux, et c'est peut-être pour ça que tu es restée l’écho de tout ce que je ressens, car une chance comme toi dans la vie y en a pas deux, le grand amour c'est comme le destin dans une vie y en a qu'un, alors qu'on commençait juste à ne faire qu'un tous les deux, comme un abruti j'ai mis fin seul à nous deux, mais j'espère encore aujourd'hui, en 2022, que ces maux pour toi n'seront pas mes adieux.

A la suite de notre histoire j'ai mis fin à mes envies, fin à mes vœux, fin à tout un tas de choses que je ne pouvais apprécier et vivre qu'en ta compagnie, à présent encore j'observe ma vie car je ne vois que toi.
Nous sommes presque le 30 décembre 2022, j'ai le Covid, il est bientôt 18h, je me sens vide, mon corps et mon coeur se bride car sans toi tout se débride, et à ce moment précis, je me demande si on se reverra après 2559 jours passé sans toi à compter mes rides.
A chacun de mes réveilles encore, je vois que notre histoire, et dans ta vie je sais que je ne serai plus jamais désiré, et pourtant c'est pour te retrouver que je me bats depuis tout ce temps comme un acharné.
Le manque de toi m'est vraiment intenable, je n'arrive pas à me passer de toi, y a pas un jour ou je ne pense pas à toi, tu comptes tellement à mes yeux, et la vérité c'est que je ne savais pas qu’il pouvait y avoir tout ce que j’admire et je désire dans un si petit bout de femme.
C'est simple, si j’avais été un écrivain ou un poète, il est certain que toi seule aurais été mon plus beau succès, et je confirme que derrière chaque homme, se cache une grande et merveilleuse femme, et dis-toi que si tu ne l'étais pas, aujourd'hui je n'en serai pas là.
Je t'ai toujours aimé de haut, pendant que toi tu le pensais peut-être tout bas, et je suis toujours celui qui a mal quand tu as mal, qui n'est pas bien quand tu ne l’es pas et même si je n'suis pas avec toi, dis-toi que tu auras toujours mon épaule pour poser ta tête quand ça ne va pas, et oui, j'te donnerai encore ma vie pour sauver la tienne, et si j'porte encore mes rêves à bout de bras c'est parce que je crois encore que j'pourrai les vivre avec toi.
Je te passe l'histoire mais un jour j'ai dit à un prof "Empêche moi d'rêver et j't'empêcherai de dormir !" Et aujourd'hui je m'excuse encore de t'avoir empêché de faire les deux.
Tu es mon plus beau rêve mais quand j'ouvre les yeux tu disparais et apparait soudainement  dans mes pensées, toutes ces années mes rêves ont laissé place aux cauchemars, et du rêve au cauchemar (de toi à maintenant), bien ou mal réveillé, mes seuls rêves ne sont plus que des rêves éveillés.
Tu sais, pendant que toi t'avais peur, que tu pensais que je m’endormais paisiblement, moi je savais que toi tu t’endormais péniblement, alors je faisais en sorte que dans ton petit cœur il ni y ait plus ces gros tremblements.
A travers ce blog je voulais pouvoir te parler librement, te rassurer, je voulais que tu sois sans crainte, mais je voulais aussi me libérer de mes pensées et te dire autant de fois que je le souhaitais combien je t'aimais, combien j'avais besoin de toi, de ta présence comme encore aujourd'hui, mais surtout de te prouver l'état de mes avancements pour que toi tu te sentes mieux, c'était ma priorité car j'étais pas bien quand on me disait que toi tu ne l'étais pas, et ça me déchire encore de savoir que t'as pu pleurer sans moi, j'aurai tellement aimé être là pour te dire "ça va aller", te rassurer et te dire que le nécessaire pour notre histoire allait être fait.
Mais en tout cas pardon ! Je m'excuse une fois de plus d'avoir été le coupable de vos douleurs, l'auteur de tes peurs et de tes larmes, je sais que j’en suis l’unique responsable.
Sans toi je ne suis plus libre, oui, je ne me sens plus du tout libre, depuis aout 2015 j'y peux rien mais je t'aime comme je vis, je t'aime comme je te vois et je t'aime comme tu es, je suis vraiment désolé mais je suis épuisé de vivre à bout de force et même au-dessus de mes forces depuis ces années sans toi, mon cœur n'est plus qu'une cicatrice qui n'se referme plus, et si mes sentiments sont encore présent c'est peut-être parce que c'est toi et pas une autre, et tu vois si j'en suis là, c'est que pour moi, dans ma tête, notre histoire n'est peut-être pas terminé, enfin je n'sais plus, tu sais on dit que plus vaste est la compréhension, plus profonde est l'illusion , et la seule chose que je sais, c'est qu'il m'est impossible de poser les yeux sur une autre femme pour devoir t'effacer ou te chasser de ma vision, vraiment impossible, t'es comme tatouée à ma vie, t'es imprégnée en moi.
C'est dur et compliqué mentalement de se battre pour quelqu'un qui ne reviendra peut-être jamais plus, mais je t'ai en moi et je te dois vraiment tout le bien qui puisse exister.
Depuis le 30 décembre 2015 je ne suis plus l'auteur de ma vie car je la regarde mourir, je la regarde passer en t'attendant alors que rien n'se passe.
J'ai aussi perdu 6 ans d'écriture, 6 ans de travail et d'efforts suite à l'échec de ma vie et de notre histoire, j'avais écrit tout un tas de choses à te dire que je ne pourrais plus retrouver ni écrire, c'est définitivement perdu, mais parmi ces choses que j'avais écrite, sans m'étaler sur le sujet je vais quand même te dire que j'ai appris la vérité sur le décès de celui qui a bouleversé ma vie et notre histoire, mon frérot Cédric, et que mon beau-père celui qui m'a tout appris sur les valeurs de la vie, l'a rejoint.
Mais aujourd'hui contrairement à avant je laisse mes absents tranquillement se reposer dans les nuages.
Enfin, tu sais la maman je l'aime, beau papa là-haut aussi, et c'est pour l'éducation qu'ils m'ont apporté et pour eux qu'j'me bats encore pour toi aujourd'hui.
En tous cas, à présent les 25, 30 septembre, 18 octobre, 30 décembre et 13 janvier sont des dates très particulière pour moi, mais je ne fais rien d'autre que de penser fortement à eux qui m'ont aimé très fort puis qui me regardent de là-haut, et de penser inlassablement à toi qui compte pour moi encore très fort.
Depuis ton départ y a pas un jour ou je ne pense pas à toi, Au lendemain du 30 décembre 2015, ou plutôt 3 heures après être rentré, je me suis levé, j'ai vu que tu m'avais bloqué, et à ce moment-là j'ai compris, j'ai ouvert une bouteille de rhum, puis une fois fini j'ai ouvert une bouteille de martini et ainsi de suite, jusqu'à m'endormir afin de ne plus penser à rien, parce que oui ! Pour moi "se saouler" rimait avec "soulager" ! Enfin, du matin au soir je n'arrêtais jamais, et ça jusqu'au mois d'avril, quand on perd ceux qu'ont aime la vérité c'est qu'on se fout de sa propre santé, plus rien n'me faisait peur, mais si je ne faisais rien je savais que je mettais ma santé en péril et notre amour danger, puis de 3 ou 4 bouteilles par jour, en mai 2016 je suis passé à 2 heures de sport par jour.
Une fois sorti de l'hôpital, lors de ma prise en charge pour le sevrage, tous les matins après les groupes de parole, j'allais en salle, puis j'ai commencé doucement le CrossFit, puis la muscu ou encore la boxe, et j'en suis d'venu toxe, de Cabrel je suis passé à Ngannou, et aujourd'hui encore à chacun de mes entrainements je ne pense qu'à nous.
Tu sais, les plus grands combats se mènent contre soi, et il a toujours été hors de question pour moi de décevoir celle à qui j'ai fait du mal et qui m’a aimé aussi fort que toi tu m'as aimé, c'est simple je te dois tout.
Je t'avais prévenu et promis, tu savais ce qu'il en serait si mon agissement du 30 septembre se reproduisait, et je comprends très bien ton départ et ton silence, et même si réciproquement avec certains de ton entourage on ne s'appréciait peu ou pas, et qui ont fait aussi en sorte que ! Je les remercie sincèrement de t'avoir soutenu, et comme pour toi, ta famille je la respecterai jusqu'au bout, justice a été faite et j'espère qu'elle sera à nouveau faite pour toi aujourd'hui.
Quant aux autres, ceux qui ont voulu me pousser dans l'impasse, si j'en avais l'occasion je leur dirai juste que les abeilles ne perdent pas leur temps à expliquer aux mouches pourquoi le miel est meilleur que la merde.
Enfin, pour en revenir au 30 décembre au soir, après mon coma éthylique, car oui : (Le coma éthylique, parfois appelé intoxication alcoolique aiguë, se définit par une perte de conscience associée à une consommation excessive d'alcool, généralement sur une courte période : plus l'alcool est absorbé rapidement, plus le risque de coma éthylique est important), ce qui explique mon agissement impardonnable et ma perte de mémoire en vers toi qui n'était pas un mensonge, j'ai réellement oublié ce qu'il c'était passé durant ces quelques minutes qui devaient être pour toi interminable, d'ailleurs c'est la juge clairement qui m'a appris mots pour maux ce que je t'avais dit ce soir-là, mais je t'écris simplement ça parce qu'une mauvaise communication peut mettre fin à beaucoup de bonnes choses, et je veux que tu saches aussi que si aujourd'hui notre histoire on l'avait continué ensemble, avec le blog en moins sans doute, j'aurais exactement fait le même parcours et pris les mêmes décisions par amour, tu es encore à ce jour ma priorité et ma préoccupation, et éternellement tu auras toute mon attention.
Avec toi j'oubliais tout, j'étais libre de ne plus penser à ce qui me blessait, mais seul face à moi-même j’étais prisonnier d'une immense tristesse, tous les chemins me menaient au rhum, et y a qu'avec lui que je pouvais pleurer ma peine de l'intérieur pour m'évader seulement quelques heures, mais mon évasion a fait qu'aujourd'hui je suis condamné à vivre sans toi, et vivre sans toi c'est comme mourir parce que dans le cœur tout devient noir.
Mon souhait à ton côté c'était d'enfanter, d'être bien, de t'aimer pour l'éternité en toute liberté, même si ce n'était pas la volonté de ta fraternité, puis ce maudit soir de décembre l'alcool m'a violenté et toute notre histoire a mis fin aux sourires et à ma liberté.
Quand t’es partie j’ai compris très vite qu'il fallait rompre avec mon pire ennemi, mais je n'y arrivais pas, le mal qu'y avait en moi c'était mélangé à ma peine, ma tristesse était profonde, alors janvier, février, mars et début avril 2016 j'ai continué à boire comme un débile, matin, midi et soir, sans manger je me mettais minable, j'avais qu'une seule hâte, être ivre pour ne plus penser et m'endormir, j'avais trop mal d'être sans toi, la faciliter me faisait du bien, et c'était comme ça tous les jours.
Mais j'ai vite rebondi et compris que si y avait une infime chance de te revoir, il fallait que je me batte, alors je me suis laissé guidé par l'amour et je me suis servi de mes sentiments pour me battre contre moi, me battre pour la femme que tu es, me battre contre ce qui nous a fait du mal, puis ce soir d'avril ou tu m'as vu à l'hôpital je partais pour gagner la guerre, et c'est en te regardant que je comprenais que mon amour pour toi serait une force pour moi tout au long de ce combat, et depuis là, je me bats parce qu'avec toi je voulais passer devant le Maire, pas devant un juge.
Entre temps y a eu du chemin, bientôt 7 ans comme je l'ai dit plusieurs fois, que par ma faute je t'ai perdu, et depuis, j’ai ce besoin de te prouver que sans toi je n'suis plus rien et que chaque jour qui passe tu me rends meilleur, je suis aujourd’hui comme t’aurai voulu qu'je sois, ou plutôt comme j’aurais dû être avec toi durant notre histoire, tout ce temps passé sans toi ne m'a pas empêcher de continuer à t'aimer, et t’aimer très fort cela m'a permis de préserver mes efforts, de foncer tête baissé sans jamais reculer.
Je t'aime tellement que j'ai l'impression de t'appartenir, de n'être qu'à toi.
Depuis nos derniers instants je t'aime peu importe où tu te trouves et peu importe où tu regardes.
Je ne vois que toi, je te rêve, je te vois partout, nous deux ce n'était pas qu'une histoire, le 14 février à Rome lors de l'escapade que j'avais organisé et prévu pour la St Val la vie allait devenir notre aventure, elle allait nous appartenir.

Enfin la vie est ainsi faite, et peu importe où je me trouverai tu compteras pour moi, et toi sache que tu pourras toujours compter sur moi n'importe où je serai.
A présent mon temps ici est compté, si tout se passe bien dans moins de 2 ans je serai parti de là, mais je t'en informerai ici, et si t'as encore quelque chose sur le cœur qui te bloque, qui te fait mal et qui t'empêche de vivre ta vie comme elle doit être vécue tu dois faire le premier pas pour me le dire, car pour ma part tu sais tout.
Tu pourras toujours ajuster tes voiles pour aller dans ton sens, mais tu ne pourras jamais contrôler le sens du vent, alors tiens bon sur la vague, tiens bien la barre, ou le vent te baladera, et pour le mal, la peur ou la peine c'est pareil, si tu n'ajustes pas ta vie c'est elle qui te contrôlera, c'est toi qui ira dans son sens, pas elle.

Pour toi comme pour moi aujourd’hui, et peu importe les chemins que nous prendrons, je veux que la seule ivresse nous soit de bonheur, et non une horreur.
La vraie force est dans la tête pas dans les muscles, et tu verras que dans la vie très peu assument, y a ceux qui trouvent des excuses, mais ceux qui t'aiment réellement trouveront des solutions, et tu verras aussi que c'est toujours celui qui n'a rien fait de sa vie qui voudra te conseiller, en bref les jaloux du bien et du bonheur des autres ! Je ne parle pas d'une personne qui t'avait fait du chantage par peur de te perdre, je parle seulement des autres.
Si dans ton cœur tu es toujours prisonnière de notre histoire j'espère que tu pourras te livrer et faire le nécessaire sans difficulté, toi seule maintenant a les cartes en mains, moi je ne peux plus rien.
Dis-toi que l'arbre qui tombe fera toujours plus de bruit que la forêt qui pousse, j'ai entendu la réplique d'un film ou d'une musique, je n'sais plus, qui disait "Le soleil, les arcs-en-ciel, c'est pas l'monde, y a de vraies tempêtes, de lourdes épreuves aussi grand et fort qu'tu sois, la vie t'mettra à genoux et t'laissera comme ça en permanence, si tu la laisses faire. Toi, moi, n'importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie." et "Qu'il y a un adage qui dit "qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime, mais il oublie d'dire aussi qu'on aime ce qui nous fait et ceux qui nous font du mal."

Je pense qu'il faut parfois faire du mal à ceux qu'on aime pour aller mieux soi-même, et si ceux qui t'aiment comprennent ça, au fond d'eux, ils se sentiront bien pour toi et tu t'apercevras au final que la forêt pousse bien mieux, enfin je m'étale pour rien, et je ne sais pas pourquoi je t'écris ça, mais je crois que ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, mais parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
Bref, ne laisse jamais personne choisir à ta place, ne laisse jamais rien tomber, et si tu dois te battre alors bats toi, tout est réalisable même s'il y a des combats qui sont perdus d'avance, les efforts sont la seule façon d'apprécier la vie, et la vie est bien plus appréciable quand tu as consacré ton temps à faire des efforts pour aller mieux, enfin ne prends pas ça pour des conseils, pense juste à toi.
La photo qui suit c'est seulement une partie de ce que je possède, je la publie pour te montrer que sans jamais rien lâcher, depuis mai 2016, je me bats réellement pour toi, et surtout pour que tu saches que depuis là, pas une seule goutte d'alcool n'a traversé mes veines, mon sang ou encore mon corp, pas une seule ! L'amour est plus fort que tout et comme on dit une photo peut valoir mille maux, alors j'espère que celle-ci te laissera sans mots, te soulagera, qu'elle mettra fin à tes craintes, à tes appréhensions, mais surtout à tes peurs si tu en as encore, car oui encore aujourd'hui tous mes choix te sont destinés, et ils le sont et le resteront tous sans aucuns regrets.
Et pour finir j'espère qu'au travers de tes silences, j'aurais au moins assouvi tes choix et franchi le seuil de tes espérances, voilà, j'espère que ça te fera un peu plaisir.
Je te dis peut-être à bientôt, ou à ici avant mon départ. 

En espérant que la suite de ta vie te soit belle, douce, joyeuse et chaleureuse avec une santé de fer pour toi et tous les membres de ton entourage si on ne se revoit pas, et même si on se revoit d'ailleurs.
Merveilleuse suite à toi merveille, J't'm.
Signé moi.

 

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...Joyeux Anniversaire merveille...


 


 

A…….

Même si mon avenir sans toi c’est transformé en ruine,

En ce jour de novembre tu es encore celle qui m’anime,

Tu es pour moi comme une vitamine,

Chaque matins le bonheur de ton visage m’illumine,

Tu rayonnes en moi chaque jour comme une montée d’adrénaline,

Je vis ton absence comme un manque de nicotine,

Ma vie sans toi n'est qu'orpheline,

De mon coeur tu es la principale héroïne,

De mon amour tu en es toujours l’origine,

A toutes les saisons je te trouve sublime,

Tu es le syndrome de la beauté ultime,

A mes yeux "you are my dream"

Tu es ma plus belle hymne,

Ton sourire est ma plus belle rime,

A chaque clignements de pupilles c'est toi qui scintille dans mes rétines,

Tu es la nuance qui m’achemine,

Et le reflet de l’amour qui dirige ma mine,

Mon amour pour toi ne s’efface pas il se dessine,

Belle, douce et câline,

Avec toi on a la pure impression que rien ne se termine,

Car à tes côtés morte est la routine,

Mais aujourd’hui je suis face à un champ d'épine,

Ou le manque de toi m’assassine,

J'avance avec une flèche planté en pleine poitrine,

Mon seul remède pour t’écrire ce qui vit dans mon coeur sont ces lignes,

Pauvre je suis mais mon amour pour toi est richissime,

J'ai l'amour à fleur de toi qui me domine,

Un amour immense que je refuse que l’on vaccine,

Mon souhait serait que sans morphine ni cocaïne,

Tu sois la reine qui me réanime,

Et si tu me délivres c’est pour la vie qu’avec toi, moi je signe,

Car de toi je veux être digne,

Je t’aime et dans mon coeur tu vis comme un poème qui m'avoisine,

Attendrissante, Merveilleuse, Adamantine, Naturelle, Divine, Inlassable, Noble, Eblouissante,

De tous ces mots tu es le synonyme,

Et c’est comme ça qu’infiniment je t’aimerai A…….

Puis si pour toi je suis la fin d'une escale marine,

Sache que pour moi de mon étoile tu es la racine.

 

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